MarcELLE.
Quand le clown rencontre son anima.

Quand un clown explore sa propre féminité.
Quand le corps devient un objet de jeux de transformation.
Comment le clown aborde-t-il la relation avec son propre corps ?
Quel jeu entretient-il avec les parties du corps ?
Comment le clown parle-t-il de la sexualité, comment la représente-t-il ?
Le clown a-t-il un ou plusieurs genres ?
Et si le clown est un homme, que devient-il quand il prend les apparences d’un clown femme ?
Quelle est cette femme ?
La gravité terrestre est-elle la même pour l’homme et la femme, la femme tombe-t-elle ?

Telles étaient les questions qui animaient la résidence d’Alexandre Demay entre le 14 et le 23 mars.